Ce Château Kefraya provient du Liban de vignobles qui s’étendent sur 22 hectares de vignes de plus de 30 ans d’âge qui sont vendangées à la main. Élaboré d’un assemblage de Syrah, de Cabernet Sauvignon et de Mourvèdre il est élevé entre 18 et 24 mois en fûts de chêne puis affiné en amphores en terre cuite.
Notes de dégustation
L’amplitude et l’intensité aromatiques de ce vin étonnent tant au nez qu’en bouche. C’est un vin résolument savoureux et d’un équilibre totalement satisfaisant.
Il se découvre au nez sur des arômes d’une belle profondeur de cassis, de cerises noires, de cèdre, de tabac avec une touche d’herbes aromatiques et une légère pointe de menthe.
En bouche il déborde de flaveurs éclatantes et amples de cerises noires, de mûres, de tabac et d’épices douces soutenues par des tannins charpentés, ronds, charnus et légèrement serrés. L’ensemble se prolonge en une longue finale soutenue, résolument fruitée soulignée par quelques notes boisées.
Vous ferez de beaux accords avec des plats d’agneau grillé, des brochettes de bœuf ou autres viandes goûteuses. On achète!
Agence Tocade – échantillon
Château Kefraya
Depuis des générations, la famille de Bustros est propriétaire d’un vaste domaine agricole dans la vallée de la Bekaa-Ouest libanaise. C’est en 1946 que débute la construction du château établi sur une colline artificielle érigée par les romains.
Les premières vignes apparaissent en 1951 et ce n’est qu’en 1979 en pleine guerre du Liban (1975-1990), que Château Kefraya commence à produire son propre vin, avec les raisins issus de son propre vignoble et vinifiés dans sa propre cave.
Situé dans la plaine de la Bekaa à plus de 1000 mètres au-dessus de la Méditerranée, le vignoble s’étale sur près de 300 hectares de coteaux en terrasses, au pied du Mont Barouk. Il traverse la faille tectonique de Yammouneh, source d’une grande diversité de terroirs, avec des géologies (argilo-calcaire, caillouteux, argilo-limoneux et sableux) datant du Jurassique et du Crétacé.
Massaya, Liban, Vallée de la Béqaa, vin blanc, 2020, 20,50$, cépages : Sauvignon blanc 70 %, Obeidi 30 %, sucre : moins de 1.2 g/l, alc. : 13%, code SAQ : 13925002.
Ce vin du Liban est élaboré avec un assemblage de Sauvignon blanc et d’Obeidi un cépage autochtone libanais qui est surtout utilisé pour l’arak un breuvage alcoolisé à saveur d’anis. Il ajoute de belles notes florales à l’assemblage.
Ce vin a été conçu dans les chais de la maison à Faqra. Suite à des vendanges manuelles en cageots on procède à un pressurage direct en pressoir pneumatique puis au débourbage statique et à la fermentation en foudres de 30 hectolitres et demi-muids. Puis c’est l’élevage sur lie durant 8 mois environ, en foudres et demi-muids. Mise en bouteilles après 8 mois.
Fait à noter les raisins poussent à une altitude allant de 1 200 à 1 600 mètres ce qui est particulièrement élevé mais permet d’aller de belles maturités tout en apportant beaucoup de fraîcheur.
Notes de dégustation
Peu aromatique au nez il présente des arômes de poires, de notes florales, d’amandes ainsi qu’un soupçon d’agrumes et de cailloux mouillés qui se prolongent de façon équilibrée en bouche.
Belle texture veloutée soulignée par une acidité plutôt équilibrée. On perçoit des jolies notes d’amandes, florales et fruitées qui s’épanouissent en une amplitude quelque peu retenue ainsi qu’une belle sensation de minéralité.
Vous ferez de beaux accords avec des viandes blanches, poissons ou en apéritif.
L’histoire de Massaya commence au cœur de la vallée de la Béqaa à Tanaïl, où, au début des années 1970, Michel Ghosn a acheté un domaine à la campagne où sa famille pouvait passer du bon temps les fins de semaines.
Puis en 1975 éclate la guerre civile qui va ravager le pays et ils doivent quitter le domaine à la hâte pour ne revenir qu’en 1990.
C’est ici en 1992 que Sami et Ramzi Ghosn ont récupéré le domaine familial alors en ruines, occupé par des squatteurs et les vignes abandonnées. De ces cendres ils ont créé Massaya : un vignoble et une distillerie traditionnelle.
Après avoir produit un arak qui fait leur renommée ce n’est qu’en 1998, avec l’aide de partenaires et conseillers Dominique Hebrard de Bordeaux et la famille Brunier de Châteauneuf-du-Pape ils élaborent leur premier vin. Et maintenant l’histoire de Massayaest intimement liée au renouveau du vin au Liban avec 45 vignobles alors qu’en qu’en 1998 il n’y en avait que 4.
Et ça n’a pas été facile car il faut savoir que les conditions arides du Liban ainsi que l’absence d’homogénéité au niveau des terroirs implique qu’il faut savoir sélectionner les meilleurs endroits comme dans la partie nord de la vallée de la Béqaa. On s’est aperçu que pour optimiser les résultats, il fallait planter à plus de 1,100 m ce qui n’est pas une mince affaire.
Puis en juillet 2014, les frères Ghosn fêtent le lancement de leur nouvelle cave située à Faqra, en altitude, et qui leur permet de cultiver des raisins blancs en hauteur et de faire vieillir les vins rouges à des températures plus fraîches que dans la Vallée de la Beqaa. L’ambition de Sami Ghosn a porté ses fruits et le Domaine Massaya, très réputé au Liban, a aujourd’hui acquis une renommée internationale.
Ce superbe Massaya Gold Reserve du Liban a été élaboré dans les chais de Tanaïl avec des raisins qui proviennent des coteaux de la Vallée de la Béqaa situés à une altitude de 900 à 1 200 mètres. La parcelle dont provient ce vin est d’une superficie de 5 ha et le terroir est composé de sols argilo-calcaires. Les vignes ont une moyenne d’âge de 50 ans
Les vendanges sont manuelles en cageots avec double tri, une première fois à la grappe suivie d’une seconde fois sur une table de tri. L’égrappage est intégral, la fermentation traditionnelle ainsi que l’élevage durent de 18 à 24 mois en barriques de chênes. La mise en bouteille est faite sans filtration.
Notes de dégustation
Véritable blockbuster élégant ce vin se révèle au nez sur des arômes de cèdre, de prunes avec une légère torréfaction.
En bouche la texture est riche et veloutée et la solide structure est assurée par des tannins bien charpentés presque tanniques. Le vin est volumineux, d’une belle amplitude, un vrai blockbuster doté d’une certaine élégance avec des flaveurs de prunes bien mûres, de notes boisées ainsi qu’une légère torréfaction qui perdurent de façon surprenante.
Un vin de gastronomie avec lequel vous ferez de beaux accords soit avec un steak au poivre ou des viandes de gibier. Je vous suggère de la passer en carafe au moins une heure avant de la servir. Même si c’est un 2013, il est tout en jeunesse et il possède un potentiel de garde d’au moins un autre 10 ans.
Massaya c’est un domaine qui naît des cendres de la guerre civile libanaise. Après s’être installé quelques années aux Etats-Unis pour fuir la guerre civile qui faisait rage au Liban, la famille Ghosn revient sur sa terre d’origine à Tanaïl, dans la Vallée de Béqaa, en 1992. Les vignes du domaine sont alors abandonnées et la décision est prise de le faire renaître.
Les frères Ghosn reprennent en main la distillerie familiale et la production de l’arak. Pour la production de vin, ils demandent conseil à des vignerons français expérimentés : Dominique Hebrard de la région bordelaise et la famille Brunier de Châteauneuf-du-Pape. Les premières bouteilles sont commercialisées en 1998.
Et maintenant l’histoire de Massaya est intimement liée au renouveau du vin au Liban avec 45 vignobles alors qu’en qu’en 1998 il n’y en avait que 4.
Et ça n’a pas été facile car il faut savoir que les conditions arides du Liban ainsi que l’absence d’homogénéité au niveau des terroirs implique qu’il faut savoir sélectionner les meilleurs endroits comme dans la partie nord de la vallée de la Béqaa. On s’est aperçu que pour optimiser les résultats, il fallait planter à plus de 1,100 m ce qui n’est pas une mince affaire.
Sortez des sentiers battus et découvrez le Pineau des Charentes Le Coq d’Or de la maison Hardy et l’Arak, liqueur traditionelle de la maison Massaya.
Le Coq d’Or, Pineau des Charentes, France, Aquitaine-Charentes, Hardy Cognac, 750ml, 18,45$, cépages : Ugni blanc 40%, Folle blanche 30% et Colombard 30%, sucre : 140 g/l, alc. : 17%, code SAQ : 24208.
Le Pineau des Charentes est un vin de liqueur élaboré à partir de raisins qui proviennent de Charente-Maritime. On l’élabore à partir des cépages Ugni Blanc, Folle Blanche et Colombard.
L’élaboration du Pineau des Charentes est réalisée par l’interruption du cycle de fermentation des moûts de raisin avec l’ajout d’alcool (le mutage). Après le pressurage, les moûts de raisin obtenus sont mutés avec de l’eau-de-vie de l’aire d’appellation Cognac, titrant au moins 60% volume et âgée d’au moins un an. En fin d’élaboration, le Pineau présentera un titre alcoolique de 16% à 22%.
Le vieillissement : Pour le Pineau blanc, l’élevage est de 18 mois au moins, dont 12 mois sous-bois. Pour le Pineau rosé ou rouge, il faudra 12 mois de vieillissement au moins, dont 8 mois sous-bois.
Notes de dégustation
Il se découvre sur des arômes de fruits secs, de lime, de miel et de notes florales. En bouche il est particulièrement souple et ample avec de jolies flaveurs de fruits surtout sur les raisins frais. La texture est riche grâce au niveau de sucre résiduel qui se conjugue harmonieusement bien à l’alcool qui ne domine pas la bouche.
Idéal en apéritif, il faut le servir assez frais, sans glaçons. Vous ferez de beaux accords avec du foie gras, des fromages bleus et des desserts; surtout des salades de fruits pas très sucrées.
C’est le Britannique Anthony Hardy fonde la Maison Hardy en 1863. Grand amoureux de la France et des Français, Il adopte le coq gaulois comme emblème de sa maison. Au fil des années il fera de sa maison un des symboles du luxe associé au Cognac.
La Maison Hardy est aujourd’hui dirigée par Bénédicte Hardy, de la cinquième génération.
La Maison produit une large gamme de cognacs de qualité, dont Hardy VS, Hardy VSOP, Hardy XO, Hardy XO Rare, L’Hiver, L’Automne, l’Été, Perfection Lumière, Privilège Cuvée Bénédicte, Noces d’Or Sublime, Noces d’Argent, Noces de Perles, Noces de Diamant et Noces d’Albâtre (tous fabriqués à partir d’un assemblage d’eaux-de-vie âgées de trente, cinquante et soixante ans).
Cette liqueur traditionnelle est produite exclusivement à partir du cépage ‘’Obeidi’’ de la vallée de Beqaa et de graines d’anis biologiques. Distillé à trois reprises à la braise de sarment de vigne en alambic forgé selon la tradition des Maures. Vieilli pendant 2 ans en amphores d’autrefois. Il est mis en bouteille sans aucune filtration.
Il est souvent servi à l’apéritif puis en accompagnement parfait d’une sélection classique de mezze, la gamme de plats aux arômes contrastés qui débute de nombreux repas du midi ou du soir au Liban. L’arak se marie particulièrement bien avec les plats de mezze qui comprennent du persil, des tomates crues, du citron, de la menthe et de l’ail – des saveurs parfois plus difficiles à assortir avec du vin.
Un univers anisé et réglissé se laissera découvrir dans votre verre. C’est assez intense sur des arômes dominants d’anis étoilé, de réglisse, avec un soupçon de fruits tropicaux et de citron vert. En bouche la saveur d’anis domine entièrement avec une finale légèrement sucrée. Il n’y a pas d’erreur, il faut le déguster avec des glaçons afin d’en découvrir l’univers aromatique.
Recette pour un Mojito
2 mesures de Massaya Arak
10 feuilles de menthe
2 tranches de lime (1cm d’épaisseur)
2 cuillères à thé pleines de sucre brun
Remplir avec du soda
Décorer avec une tranche de lime ainsi qu’une feuille de menthe
L’histoire de Massaya commence au cœur de la vallée de la Bekaa à Tanaïl, où, au début des années 1970, Michel Ghosn a acheté un domaine à la campagne où sa famille pouvait passer du bon temps les fins de semaines.
Puis en 1975 éclate la guerre civile qui va ravager le pays et ils doivent quitter le domaine à la hâte pour ne revenir qu’en 1990. Finalement, c’est ici en 1992 que Sami et Ramzi Ghosn ont récupéré les terres de leur famille et ont commencé à créer un vignoble et une distillerie traditionnelle.
Après avoir produit un arak qui fait leur renommée ce n’est qu’en 1998, avec l’aide de partenaires et conseillers Dominique Hebrard de Bordeaux et la famille Brunier de Châteauneuf-du-Pape ils élaborent leur premier vin. Et maintenant l’histoire de Massaya est intimement liée au renouveau du vin au Liban avec 45 vignobles alors qu’en qu’en 1998 il n’y en avait que 4.
Et ça n’a pas été facile car il faut savoir que les conditions arides du Liban ainsi que l’absence d’homogénéité au niveau des terroirs implique qu’il faut savoir sélectionner les meilleurs endroits comme dans la partie nord de la vallée de la Beqaa. On s’est aperçu que pour optimiser les résultats, il fallait planter à plus de 1,100 m ce qui n’est pas une mince affaire.
Les Émirs du Liban du Château St-Thomas a obtenu une médaille d’or au concours Sélections Mondiales des Vins Canada 2018 avec le millésime 2014. J’ai eu le plaisir d’être juge à ce concours lors de l’édition 2020. Il faut dire que les vins sont dégustés à l’anonyme sans idée du prix, du pays ou du cépage. Une médaille d’or lors de ce concours est totalement méritée puisque rien d’autre que le goût du vin n’influence les juges.
Ce vin se révèle sur des arômes de cerises et de prunes bien mûres, de notes d’herbes séchées, de muscade ainsi qu’un soupçon d’eucalyptus. Vraiment surprenant pour un 2014 (il a 7 ans) qui demeure tout en jeunesse sans une présence importante d’arômes tertiaires.
La bouche témoigne d’une belle concentration des flaveurs de fruits noirs, de cerises, de réglisse noire, d’épices douces et de notes boisées qui se conjuguent à une texture veloutée et des tannins charpentés et tissés serré.
Bien goûteux et doté d’une certaine puissance (85% de Cabernet-Sauvignon) il possède une finale d’une longueur appréciable.
Vous ferez de beaux accords régionaux avec des brochettes d’agneau, un plat de kefta ainsi que des viandes rouges grillées.
Fondé en 1990 par Saïd Touma et sa famille sur une colline dominant la vallée de la Bekaa, le domaine du Château St Thomas est un vignoble de soixante-cinq hectares qui comprend un chai de fermentation et de vieillissement.
Avec plus de 55 ans d’expérience dans la distillation et la fermentation de jus de raisin Saïd Touma a transmis l’entreprise à son fils Joe-Assaad, agronome et vigneron et diplômé de France (Montpellier & Bordeaux).
Situé sur une colline surplombant la vallée de la Bekaa (le centre de l’industrie viticole libanaise – à plus de 1000m d’altitude), le domaine du Château St Thomas est un vignoble qui s’étend sur 65 hectares et est exposé sur le versant oriental du Mont Liban. Il comprend une cave creusée de 25m à 30m dans les rochers comprenant un entrepôt de vin pour la fermentation et le vieillissement.
Les cépages nobles qu’on y cultive (Cabernet Sauvignon, Syrah, Merlot, Petit Verdot, Pinot Noir, Chardonnay, Viognier et Sauvignon Blanc) ainsi que le cépage indigène local comme l’Obeidy sont habitués aux conditions climatiques et aux caractéristiques géologiques de la vallée de la Bekaa: un climat méditerranéen et semi-continental caractérisé par des hivers froids et pluvieux et des étés chauds et secs.
Le sol est pauvre, bien drainé et est constitué d’un mélange de calcaire et d’argile caillouteuse. Le rendement est particulièrement faible. L’eau n’est jamais un problème car les chaînes de montagnes de l’Est et de l’Ouest apportent beaucoup de pluies et de neige.
Vignobles du Liban – Vallée de Bekaa
Les vignobles de Château St-Thomas sont situés dans la vallée de la Bekaa (dans la vallée centrale et occidentale de la Bekaa) à une altitude moyenne de 1000 mètres. La vallée de la Bekaa a un climat semi-continental. Les hivers sont froids avec des précipitations modérées et les étés sont chauds et secs. L’altitude signifie que les chaudes journées d’été sont équilibrées par des soirées fraîches avec une différence de température d’environ 15 ° C.
Les vignobles de la vallée bénéficient également de leur propre nappe phréatique naturelle, située entre deux chaînes de montagnes enneigées. On reçoit entre 600 et 700 mm de précipitations annuelles, concentrées en automne et en hiver. En revanche, le temps est sec pendant les mois d’été et les saisons de croissance, ce qui entraîne beaucoup moins de maladies.
Le sol varie de la craie, à l’argile et au calcaire, mais il est toujours caillouteux.